Notre Philosophie
Depuis 40 ans, les Amis du Cameroun du Luxembourg (Frëndeskrees Kamerun asbl) s’engagent pour les enfants pauvres, vulnérables, orphelins du SIDA. Ainsi, durant les 10 dernières années nous avons réussi à donner des perspectives d’avenir à 650 enfants qui vivent au Centre d’Accueil Temporaire de l’Espoir (CATE) d’Efoulan (Yaoundé). Grâce à l’engagement de nos membres et donateurs, nous permettons à ces enfants une éducation encadrée par toute une équipe spécialisée : éducateurs, répétiteurs, psychologues, spécialistes de la prise en charge médicale, …
Le bien-être et le savoir-faire de ces jeunes continuent de nous préoccuper lors de leur adolescence. Nous sommes soucieux de les accompagner afin de leur permettre de faire …(Notre souci s’exprime par un accompagnement pour leur permettre de faire) des études (économie, droit, médecine, …) ou de suivre une formation : cuisinier, serveur, réceptionniste, mécanicien, métallurgiste, menuisier, coiffeur, esthéticienne, …
Dans le centre CEPASE (Centre de Promotion des Activités SocioEconomiques) , le CAES (les centres d’accueil de l’espoir) assure une formation pour les futurs jeunes paysans et paysannes. Ainsi, nous formons des jeunes en élevage de poissons, de poulets, de porcs, … et dans la manutention des cultures de maraichère..
Nos engagements
Léon Kraus, Président
Durant de multiples voyages au Cameroun depuis les années 1980, le paysage et les citoyens de ce pays m’ont touché le cœur. Malgré une pauvreté inouïe et des contraintes multiples de vie, les Camerounais gardent leur sourire et leur joie de vivre, ils sont accueillants et débrouillards. D’abord engagé pour des projets à Douala avec l’abbé Clément Ndjewel (+2021), la capitale de Yaoundé a attiré mon attention depuis une dizaine d’année, grâce à l’engagement de la sœur Brigit Mewoulou pour les orphelins du SIDA et les enfants vulnérables des faubourgs. Par mes voyages répétés au Cameroun, je garantis une aide efficace et que chaque don qui nous est confié, arrive à destination !
Marie-Paule Arendt, Vice-Présidente et Secrétaire
Comme cofondatrice de Ninos de la Tierra (auparavant les enfants de Chili) et de Solidaresch Hëllef Réiserbann, j’avais déjà une longue expérience avant de me joindre, il y a une vingtaine d’années, au Cercle d’ami(e)s de Cameroun. En 1999, nous (ma fille et moi) avons eu la chance de visiter une première fois le Cameroun. J’ai pu voir de mes propres yeux qu’il y a des gens qui essaient de se construire un meilleur avenir pour eux et pour leurs enfants, rien qu’avec une petite aide de démarrage. Je suis convaincue que le seul moyen de sortir de la misère soit „l’aide à se débrouiller, l’aide à devenir autonome“ et non pas les tentatives d’évasion dangereuses et le plus souvent décevantes vers l’Europe.
Je continue à m’engager pour que nos projets aient comme résultat qu’avec le temps les Camerounais puissent vivre de leurs récoltes et gagner leur vie dans leur pays. Un jour, ils n’auront plus besoin de notre aide – voilà notre but!
Änder Ludovicy, Trésorier
Après une rencontre intéressante avec l’abbé Clément Ndjewel, j’ai décidé de participer au voyage au Cameroun en 2003 pour voir sur place comment je pourrais m’engager. Il est important que les jeunes se préparent par une formation à une vie autonome pour qu’ils puissent prendre soin d’eux-mêmes et de leur famille. J’ai pu constater qu’après leur formation de mécanicien, d’agriculteur, de cuisinier, de couturière, de coiffeur, de manicure ou de pédicure, ils puissent gagner leur vie. Je m’engage auprès du CA-Cameroun pour les aider à financer de telles formations.
Annette Scholer, Membre
En Inde, j’ai vu combien il est difficile pour beaucoup de gens à gagner leur vie. Depuis plus de vingt ans j’ai essayé au CA-Cameroun d’améliorer les conditions de vie aux personnes moins fortunées que nous.
Raymond Brosius, Membre
Il y a 35 ans, j’ai fait la rencontre de deux petits enfants du Cameroun au Luxembourg. Depuis ce jour-là je m’engage pour eux. Je veux aider également d’autres Camerounais(es) vivant dans des circonstances difficiles. Depuis mes nombreux voyages au Cameroun je tiens à coeur ce pays et ses habitants. Dès mon premier voyage au Cameroun avec la paroisse de Roeser en 1999, je suis actif dans le CA-Cameroun et je suis heureux de pouvoir aider à améliorer l’avenir de bon nombre d’enfants et de jeunes.
Sara Sommer, Membre
Il est enrichissant de rencontrer des gens d’autres pays, de parler avec eux, de connaître leurs opinions et leurs modes de vie. Dans le CA-Cameroun, je peux m’engager à aider les personnes vivant dans la précarité à rendre leur vie moins difficile. En particulier, il m’a plu lors de la visite au « Trauliichtfeier – fête de la citrouille « en 2015 avec ma petite nièce, je vu que c’est beau de donner la joie aux enfants tant ici au Luxembourg qu’au Cameroun J’ai tenu à y participer aussi ce que je fais dès lors.
Camille Schneider, Membre
Il me paraît très nécessaire de se rendre compte combien nous avons de la chance en Europe, et plus particulièrement au Luxembourg, de pouvoir mener une vie de luxe en comparaison avec la majorité des pays du monde. Alors je ressens une obligation morale d'engager une partie de mon temps pour soutenir des êtres humains qui ne sont pas si bien encadrés par un système social. Le Cameroun n'est pas mon engagement principal, mais j'apporte au "Frëndeskreess Kamerun" ce que je peux partager de mon expérience, pour contribuer ainsi à des perspectives pour des jeunes au Cameroun qui y sont nettement défavorisés et ont besoin de ce soutien pour leur développement et leur futur.
